Jean Luc Brault, après avoir vécu en banlieue parisienne, s’installe à Montpellier puis à Marseille où il passe un BTS « Analyse et conduite d’ exploitation agricole». Après une année passée à Bruxelles avec sa compagne, Jean Luc travaille trois ans à l’île de la Réunion pour une association de maraîchers en tant que technicien agricole. En 1998, il s’installe dans l’Aude près de Carcassonne pour produire des semences. Le métier d’artisans semenciers n’existant pas, il est inscrit par la chambre d’agriculture comme producteur de melon sous abris. Il exerce son activité agricole de production de semences sur une très petite surface de 4000m².
Archives mensuelles : mars 2015
« Alimentation Générale » : succès pour la première rencontre d’affaires entre professionnels de filières alimentaires de proximité en région parisienne
Le 16 mars 2015, Minga en partenariat avec la communauté d’agglomération Est-Ensemble, le département de la Seine-Saint-Denis et la Région Ile-de-France ont organisé les premiers rendez-vous d’affaires des circuits courts alimentaires.
Même si Minga organise rég
ulièrement ce type d’évènement à Poitiers et à Caen (en partenariat avec Normandie Équitable) depuis 2011, par la densité de population, l’éloignement des lieux de production, l’organisation en région parisienne de ce type de rencontre est un défi.
La maison d’édition IJIN adhère à Minga
IJIN (« imagination », en breton) est une jeune maison d’édition créée par Naig Le Gars. De par ses engagements politiques dans les domaines autonomiste, fédéraliste et européen et ses responsabilités publiques, notamment comme élue au conseil régional de Bretagne, Naig a été confrontée à la problématique de l’édition en générale et à celle de l’édition bretonne en particulier.
Monter une maison d’édition dans un secteur d’activités finalement assez concentré (et très parisien), malgré la loi sur le prix unique du livre, qui permet de maintenir un tissu de librairies indépendantes, n’est pas une mince affaire. Face à une profusion pléthorique de titres édités chaque année, et dont – pour certains – on peut s’interroger s’il s’agit bien de livres, monter une maison d’édition est forcément une mise à l’épreuve politique, économique et intellectuelle.